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Dans la mythologie grecque, Tantale a volé l'ambroisie aux Dieux pour donner ce mets divin aux mortels alors il s'agit là d'un rapprochement malheureux qui se rapproche de l'inceste. Je m'explique.
Si les Dieux honorèrent l'amitié de Tantale et le reçurent à leur table divine où il put devenir immortel en mangeant leur nourriture l'ambroisie.
Dans la mythologie familiale, je prends le risque de faire un parallèle : si un enfant est invité non à la "table" mais dans le "lit" d'un adulte ou adolescent, en fait il s'agit pour moi d'une consommation d'ambroisie...
L'enfant devient l'égal d'un adulte à la très grande différence c'est
que Tantale voulait jouer à Dieux alors
que mon fils est le jouet des désirs malsains d'un adolescent qui règle des comptes avec son père ou le fait d'avoir perdu sa mère à 5 ans. Mon fils a ses 2 parents lui pas !
Cet adolescent a-t-il été le jouet sexuel de son père ? ou de l'un de ses 2 autres grands frères ou autres ? Quel fonctionnement réel anime ce groupuscule familial ? Quelles limites donnent ce père ? Quels rôles ce père fait-il jouer aux membres de sa propre famille ? Membres, sont-ils des membres dont il se sert pour de funestes besoins ou instincts.
Je n'aurais émis de si terribles hypothèses - il y a 1 1/2 an parlez ainsi du père de notre fils !
En fait, quand un enfant a été abusé sexuellement, il a été spolié de son innocence - aucune ambroisie ne peut valoir ce "meurtre de sang froid". Je peux essayer de trouver des excuses à la douleur de l'agresseur mais face à un négationniste des faits par le père. Je reste glacée d'effroi. Cet homme a encore 1 enfant de 3 ans et un bébé qui dort dans la cuisine ? Les services sociaux suisse déboute mes craintes quant aux enfants sur France.
Et les services sociaux français me déboute car c'est la Suisse qui est juridiquement au fait.
J'ai fait appel à la cellule d'enfance en danger en France allant jusqu'au bout de mes craintes pour le demi-frère de 3 ans de notre fils.
Comment peut-on réparer ce crime, cette chaîne qui lie l'enfant à son parent qui devient à la foi son bourreau et devrait être son protecteur, si la victime "garçon" ou "fille" devient à son tour parent ?
Quand rompre cette chaîne de malheur, de honte, de souffrance, de silence, d'incompréhension... Commencer à écrire pour moi. Avec ma plume trempée dans mes sueurs froides.
Vais-je sauver mon fils de ce lien pourri ?
Vais-je lui offrir un avenir plus radieux et heureux que le mien ?
Jamais il ne devra être soumis à un risque à nouveau chez son père quoiqu'en dise la juge suisse. Même si le spmi est très frileux à se positionner par écrit dans cette situation.
Le bon sens, à mes yeux, doit récompenser le courage de mon fils d'avoir parlé.
Mon devoir est de le croire.
Les institutions sociales font ce qu'elle peuvent avec leur peu de moyen...
Je bosse moi-même dans le social, le plus comique de l'affaire.
Je découvre les coulisses des institutions et surtout le manque de tact de la justice suisse...
Et les services sociaux français me déboute car c'est la Suisse qui est juridiquement au fait.
J'ai fait appel à la cellule d'enfance en danger en France allant jusqu'au bout de mes craintes pour le demi-frère de 3 ans de notre fils.
Comment peut-on réparer ce crime, cette chaîne qui lie l'enfant à son parent qui devient à la foi son bourreau et devrait être son protecteur, si la victime "garçon" ou "fille" devient à son tour parent ?
Quand rompre cette chaîne de malheur, de honte, de souffrance, de silence, d'incompréhension... Commencer à écrire pour moi. Avec ma plume trempée dans mes sueurs froides.
Vais-je sauver mon fils de ce lien pourri ?
Vais-je lui offrir un avenir plus radieux et heureux que le mien ?
Jamais il ne devra être soumis à un risque à nouveau chez son père quoiqu'en dise la juge suisse. Même si le spmi est très frileux à se positionner par écrit dans cette situation.
Le bon sens, à mes yeux, doit récompenser le courage de mon fils d'avoir parlé.
Mon devoir est de le croire.
Les institutions sociales font ce qu'elle peuvent avec leur peu de moyen...
Je bosse moi-même dans le social, le plus comique de l'affaire.
Je découvre les coulisses des institutions et surtout le manque de tact de la justice suisse...
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